Biogen publie les derniers résultats de recherche portant sur ses médicaments contre la sclérose en plaques

Selon un article de sectorpublishingintelligence.co.uk, des études utilisant des données recueillies dans un contexte de traitement réel soulignent les caractéristiques de deux traitements différents contre la sclérose en plaques (SEP) développés par la société pharmaceutique Biogen. Ces études ont mesuré les effets de ces traitements sur des populations spécifiques de patients atteints de sclérose en plaques. Les médicaments présentés dans ces études étaient le natalizumab (commercialisé sous le nom de TYSABRI) et le peginterféron bêta-1a (commercialisé sous le nom de PLEGRIDY).

À propos de la sclérose en plaques

La sclérose en plaques est une maladie neurologique caractérisée par une lésion de la gaine de myéline, une couche grasse, isolants et protectrice qui enveloppe les cellules nerveuses et leur permet de communiquer efficacement. Bien qu’aucune cause précise n’ait été déterminée, la sclérose en plaques est considérée comme une maladie auto-immune dans laquelle un certain déclencheur, tel qu’une infection, peut amener le système immunitaire à attaquer par erreur des tissus sains. Le tabagisme et certaines variantes génétiques sont également considérés comme des facteurs de risque de la maladie. Les symptômes incluent une vision floue, une vision double, la cécité d’un œil, un engourdissement, des sensations anormales, une douleur, une faiblesse musculaire, des spasmes musculaires, une difficulté à parler et à avaler, une instabilité de l’humeur, une dépression, une perte de coordination et de la fatigue. Il existe un certain nombre de traitements disponibles pour traiter la maladie, mais aucun traitement curatif. L’espérance de vie des patients est légèrement réduite. Pour en savoir plus sur la sclérose en plaques, cliquez ici.

L’Administration du natalizumab

La première étude a comparé la dose standard toutes les quatre semaines pour le natalizumab à une dose toutes les six semaines. L’étude a évalué les patients qui consommaient la dose standard du médicament depuis un an, puis qui sont passés à la posologie moins fréquente. L’étude a révélé qu’il n’y avait pas de différence significative entre le taux de rechute et le risque global de rechute chez ces patients lorsqu’ils changeaient de dose. La dose moins fréquente est bénéfique car elle réduit le risque d’effets indésirables tels que la leucoencéphalopathie multifocale progressive, une infection cérébrale rare mais grave.

Une Exposition au Peginterferon Bêta chez les bébés en développement

Une autre étude a examiné les données relatives à la santé des nourrissons de patientes ayant traité leur maladie avec du peginterferon bêta-1a pendant la grossesse et a comparé les résultats obtenus avec des patientes n’ayant pas reçu de traitement. Les résultats ont indiqué que ce médicament n’avait pas d’effets indésirables sur les nourrissons et qu’on n’observait aucune différence dans les mesures telles que le tour de tête ou le poids total.

De telles études peuvent conduire à des améliorations significatives des résultats pour les patients et peuvent aider à confirmer les caractéristiques d’innocuité et d’efficacité de ces traitements.

 

 


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