Les Chercheurs sont maintenant capables de faire un zoom sur les mutations causant les maladies auto-immunes

Sans comprendre la cause de la maladie, il est difficile de comprendre comment soigner le plus efficacement les patients. Au lieu de s’occuper de la cause sous-jacente de la maladie, les médecins sont obligés de simplement traiter les symptômes.

Grâce à une nouvelle étude dirigée par des chercheurs de l’Institut Garvan de l’Université de Nouvelle-Galles du Sud, on peut avoir une nouvelle compréhension des causes des maladies auto-immunes. Les résultats de cette étude ont été publiés dans Cell. Le premier auteur de l’étude est Mandeep Singh.

À propos de l’étude

Cette équipe a découvert un moyen de « faire un zoom » essentiellement sur les cellules qui causent les maladies auto-immunes.

Ils ont d’abord découvert quelles cellules étaient responsables de la maladie en évaluant les cellules réelles des patients. À l’aide d’échantillons de patients, ils ont pu voir quelles cellules contournaient les mécanismes qui empêchent les cellules d’attaquer les tissus sains du corps. Ces cellules sauvages sont extrêmement rares, seulement une sur 400 étant de ce type. Cette rareté rend leur étude difficile.

Même après que ces cellules ont été identifiées, une enquête approfondie est difficile si les chercheurs ne peuvent pas les examiner avec une résolution claire.

Une fois que les cellules sauvages ont été isolées des autres, elles ont pu être mises à l’étude pour identifier les mutations dans les cellules qui pouvaient causer la maladie. Ces chercheurs ont d’abord pu faire un zoom sur les cellules sauvages des patients atteints de vascularite cryoglobulinémique.

Ce que tout cela veut dire

L’identification de ces mutations est en elle-même une réussite. Bien sûr, si on ne sait pas quelles cellules sont sauvages, il n’y a aucun moyen de savoir comment les retirer du corps. Cependant, ces chercheurs ont également pu comprendre à quel stade de la maladie chaque mutation s’est produite. Cela pourrait conduire à un diagnostic à des stades antérieurs, à des traitements plus ciblés et à un meilleur suivi de la façon dont les patients répondent aux thérapies à chaque stade.

Ces recherches pourraient être le début de quelque chose de très important. Ces résultats pourraient non seulement aider au développement de traitements plus spécifiques, mais également soutenir le diagnostic opportun et approprié pour les patients.

Diverses études de suivi sont prévues pour examiner les mutations de ces cellules dans d’autres maladies, notamment la maladie cœliaque, Lupus, ainsi que le diabète de type 1.

Pour en savoir plus sur cette étude, cliquez ici.


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