Une Étude identifie les facteurs de risque de bronchiectasie chez les patients atteints d’une maladie respiratoire exacerbée par l’Aspirine

Selon un article de Pulmonology Advisor, un essai récent a étudié les facteurs de risque d’apparition de bronchectasies chez les patients atteints d’une maladie respiratoire exacerbée par l’aspirine (également connu sous le nom de syndrome de Widal ou SW). Un petit nombre de patients qui utilisent de l’aspirine ou d’autres anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) subissent des réactions d’hypersensibilité qui peuvent provoquer l’apparition de symptômes semblables à l’asthme. La maladie peut évoluer même si le traitement par le médicament est arrêté. Bien que le SW puisse être traité, certains patients voient une progression qui provoque des manifestations pulmonaires plus graves telles que la bronchectasie.

À propos de la bronchiectasie

La bronchiectasie est une maladie pulmonaire qui se caractérise le plus par l’élargissement permanent de certaines zones des voies respiratoires pulmonaires. Cette maladie peut être acquise ou familiale. Elle apparaît souvent à la suite d’autres maladies, telles que la fibrose kystique, la pneumonie, la tuberculose et bien d’autres. L’héroïne, l’alcoolisme et l’inhalation de gaz toxiques comme l’ammoniac peuvent également augmenter le risque. Il existe également plusieurs troubles et maladies génétiques qui augmentent le risque, tels que l’immunodéficience, le syndrome de Marfan et le syndrome de Young. Dans de nombreux cas, la cause est inconnue. Les symptômes comprennent de la toux, du mucus, des infections pulmonaires, le pied bot, un sifflement, des douleurs thoraciques, cracher du sang et un essoufflement. Les traitements comprennent les stéroïdes en spray, le drainage postural, les antibiotiques et la chirurgie. La fréquence exacte de cette maladie n’est pas bien connue. Pour en savoir plus sur la bronchectasie, cliquez ici.

Les Résultats de l’étude

L’étude a analysé les données de 149 patients atteints de SW. D’après ces données, il était immédiatement clair que les patients atteints de bronchectasie ont vu une durée globale de la maladie plus longue que les autres patients. D’autres facteurs de risque qui ont été identifiés grace à ces données comprenaient la vieillesse, la pneumonie, l’aspiration, l’infection par des mycobactéries et l’aspergillose bronchopulmonaire allergique.

En fin de compte, ces résultats auront un impact sur le traitement, car les patients atteints de bronchectasie ont une fonction pulmonaire empirée et sont susceptibles d’avoir besoin d’une approche de traitement plus intensive. Les auteurs recommandent que les patients présentant les facteurs de risque identifiés dans l’étude se soummettent à un scanner afin de confirmer un diagnostic.

Pour lire l’étude originale qui a été publiée pour la première fois dans The Journal of Allergy and Clinical Immunology, cliquez ici.


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