Le Rôle plus important des inhibiteurs de PARP dans le traitement contre le cancer de l’ovaire

Les inhibiteurs de la poly ADP-ribose polymérase (PARP) ont joué un rôle plus important dans le traitement du cancer de l’ovaire. Ils sont très largement étudiés dans les essais cliniques, à la fois pour le traitement contre les cancers de l’ovaire et contre d’autres formes de la maladie. Ils sont censés inhiber l’enzyme PARP, ce qui entraîne la mort des cellules cancéreuses. Il a été démontré qu’ils ralentissent la progression de la maladie ou augmentent la durée entre les cycles de chimiothérapie. Depuis 2014, ils constituent une option pour les personnes diagnostiquées d’un cancer de l’ovaire. Anna Valencia Hall a vu les avantages de ce traitement après avoir reçu un diagnostic de cancer de l’ovaire de stade 3C.

À propos de cancer de l’ovaire

Le cancer de l’ovaire affecte les ovaires des femmes, qui font partie de l’appareil reproducteur. Il existe plusieurs types de ce cancer, qui varient en fonction de l’endroit précis où le cancer commence. Quel que soit le type de cancer de l’ovaire, les tumeurs se propagent souvent aux ganglions lymphatiques, à la muqueuse de l’intestin et de la vessie, aux poumons et au foie.

Les symptômes de ce cancer augmenteront en gravité à mesure que la maladie évoluera. Les symptômes comprennent des douleurs pelviennes, le ballonnement, un gonflement abdominal, des problèmes urinaires, une perte d’appétit, des saignements utérins anormaux, une hyperplasie endométriale, une sensibilité du sein, des sécrétions vaginales, des symptômes virilisants, une augmentation en poids et en circonférence de l’abdomen et des irrégularités du cycle menstruel.

Un diagnostic de cancer de l’ovaire arrive généralement après un examen pelvien. D’autres tests peuvent être nécessaires, tels que des tests d’imagerie, des tests sanguins et des biopsies. Une fois le diagnostic obtenu, la première étape du traitement est généralement la chirurgie. La chirurgie peut être invasive, avec l’ablation des trompes de Fallope, de l’utérus, des ganglions lymphatiques, de l’omentum et des ovaires. Elle peut également être moins intense, car les médecins ne peuvent retirer qu’une seule ovaire ou trompe de Fallope. Ces interventions sont suivies d’une chimiothérapie, d’une radiothérapie ou d’autres médicaments.

L’Histoire d’Anna

Anna Valencia Hall a reçu un diagnostic de cancer de l’ovaire de stade 3C en mai 2014. La première étape de son traitement a été une intervention chirurgicale, suivie de six cycles de chimiothérapie. Après cette stratégie, elle est était en rémission pendant dix-huit mois. Elle a rechuté et a subi six cycles supplémentaires de chimiothérapie, ce qui a entraîné sa rémission.

Pour lui donner les meilleures chances de rester en rémission, son oncologue lui a prescrit un inhibiteur de PARP appelé Zejula. Ce médicament est destiné à être un traitement d’entretien, dans le but d’arrêter la rechute du cancer de l’ovaire.

Le Zejula a réussi et a empêché le retour du cancer d’Anna. Elle n’a pas connu d’effets indésirables, ce qui est un autre aspect positif de ce médicament. Comme il s’agit d’un traitement oral, Anna est reconnaissante de ne pas avoir à subir de perfusions récurrentes. Dans l’ensemble, la vie d’Anna a été améliorée par le Zejula.

Les Inhibiteurs de PARP

Les inhibiteurs de PARP sont récemment devenus une forme de traitement plus populaire contre le cancer de l’ovaire. La FDA autorise l’utilisation de cette thérapie depuis 2014. Ce sont des traitements d’entretien, ce qui signifie qu’ils sont censés ralentir la progression ou la réapparition du cancer et augmenter la durée entre les cycles de chimiothérapie. Les essais cliniques ont montré que ces inhibiteurs peuvent réduire la progression de la maladie de 70%.

Il existe des effets indésirables courants de ces traitements, tels que des troubles gastriques, des éruptions cutanées, des maux de tête, des plaies dans la bouche, des étourdissements, de l’anémie et une numération globulaire anormale. La prise d’un inhibiteur de PARP ne signifie pas nécessairement qu’on ressentira tous ou même l’un de ces effets secondaires et cela dépend de la personne.

De nombreuses études ont confirmé la nécessité de cette forme de thérapie plus tôt dans le traitement du cancer de l’ovaire. Les essais cliniques de différents types d’inhibiteurs de PARP ont démontré une augmentation de la durée de la rémission, une augmentation de la durée sans rémission et une coupure de l’apport sanguin aux tumeurs.

D’autres utilisations des inhibiteurs de PARP sont également à l’étude. Les chercheurs ont étudié la combinaison de ces inhibiteurs avec l’immunothérapie. Des études ont montré que la combinaison de ces deux formes de médicaments peut aider à renforcer le système immunitaire et à combattre le cancer. Cette recherche encourage les professionnels de la santé à mettre en œuvre des inhibiteurs de PARP plus tôt dans le processus de traitement.

Les professionnels de la santé continueront de rechercher cette forme de traitement afin d’améliorer la vie des personnes atteintes d’un cancer de l’ovaire. Ils espèrent que les inhibiteurs de PARP continueront à se développer afin de supprimer un jour le besoin de chimiothérapie, ce qui provoque des effets secondaires graves. L’objectif est d’améliorer la vie de toutes les personnes atteintes d’un cancer de l’ovaire.

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