Comme publié par les NIH ; les NIH encouragent les personnes atteintes d’insuffisance rénale chronique (IRC) à envisager de suivre un régime alimentaire spécifique. Cependant, ce n’est pas pour sculpter le corps.

Cette maladie rare empêche les reins de remplir leur rôle de filtrage du corps des déchets. Les médecins ont compris que si le rein n’était pas capable de fonctionner au maximum, peut-être qu’ils pourraient alléger la charge de l’organe en introduisant moins de toxines dans le corps. Les chercheurs ont déterminé qu’un régime pauvre en protéines attentivement programmé et adapté pouvait aider à ralentir l’évolution de la maladie et retarder la dialyse. Pour les personnes atteintes d’IRC, il est incroyablement attrayant de pouvoir conserver autant de temps que possible avant que les symptômes ne deviennent trop graves.

L’insuffisance rénale chronique est un terme pour décrire l’état quand l’insuffisance rénale cause des lésions irréversibles. Quand le rein fonctionne correctement, il élimine les toxines et les déchets des aliments, les évacuant par la miction. Cependant, la maladie endommage la capacité de l’organe à faire son travail, provoquant une accumulation de liquides et de déchets, qui ont alors un effet en cascade sur d’autres parties du corps. Cela peut provoquer une carence en vitamines, une jaunisse, un retard de croissance, des nausées, un petit appétit, de la fatigue, de la faiblesse, des maladies ou une hypertrophie du foie, des changements dans les habitudes de miction, des démangeaisons, des contractions et des crampes musculaires, un gonflement des pieds, une hypertension, et un essoufflement. L’IRC peut être déclenchée par un certain nombre de maladies qui inhibent le fonctionnement des reins, notamment le diabète et l’hypertension artérielle. Au fil du temps, la maladie évolue vers des complications plus graves. L’IRC peut être gérée en utilisant des médicaments qui traitent l’hypertension ou le cholestérol, des vitamines et plus tard, une dialyse ou une transplantation.

La nouvelle étude montre qu’un régime alimentaire adapté, initié tôt et strictement respecté par le patient, peut avoir des effets considérables sur l’évolution de la maladie. Le régime général comprend de faibles quantités de protéines, associées à des compléments tels que le calcium, les cétoanalogues d’acides aminés et la vitamine D. Ces vitamines aident certaines parties du métabolisme et peuvent éliminer certaines des toxines les plus susceptibles de s’accumuler et de causer des problèmes. Ils ont également recommandé aux patients d’éviter trop de sel et de phosphore, ce qui peut provoquer un déséquilibre et contribuer à l’évolution de la maladie.