La Vérité sur le danger de la COVID-19 pour les enfants après le rétablissement

Le NZ Herald a récemment publié des détails sur l’expérience de Logan Walsh, âgé de sept ans, de Leeds, en Angleterre. On a dit à sa mère de ramener Logan chez eux après avoir reçu un diagnostic de grippe intestinale.

Logan et sa mère avaient été testés positifs à la COVID-19 il y a plusieurs mois. En novembre 2020, ils semblaient tous deux s’être remis du virus et ils ont repris leurs activités quotidiennes normales.

Mais ce n’était plus le cas à la fin de novembre 2020, quand Logan a été emmené aux urgences avec des nausées et une forte fièvre. Il est rentré chez lui après avoir reçu le diagnostic de grippe intestinale. Pendant son prochain séjour à l’hôpital, Logan s’est trouvé en soins intensifs avec des cloques couvrant tout son corps ainsi qu’un gonflement grave de son visage.

En décembre, ses organes présentaient un déclin de leur fonction. Un article dans Yorkshire Live a parlé du fait que Logan développait un souffle au cœur et du sang plus fluide. Il a de nouveau été transporté à l’hôpital alors que l’éruption cutanée grandissait.

Cette fois, il a été éxaminé par un spécialiste qui a identifié les symptômes et a diagnostiqué à Logan un PIMS-TS. Les symptômes du PIMS-TS sont une insuffisance des organes, des problèmes cardiaques et une diminution du flux sanguin.

Les muscles et les articulations de Logan étaient si enflés qu’après être sorti des soins intensifs, Logan a été transféré dans un centre de rééducation, car il était incapable de marcher. Son rétablissement a été lent. Il a été libéré de l’hôpital le jour de Noël.

La mère de Logan est fâchée par le fait que le département de la santé du Royaume-Uni ne prévient pas les gens de ce symptôme mortel de la COVID-19. Les médecins lui ont dit qu’ils avaient vu des adolescents qui se remettaient de la COVID mais avaient plus tard exprimé les mêmes symptômes que ceux ressentis par Logan.

La mère de Logan était surtout perturbée par le mythe que la COVID-19 affecte rarement les enfants. Même si elle convient que les gens commencent enfin à reconnaître le lien.

Les Syndromes hyper-inflammatoires

Les médecins ont finalement diagnostiqué un syndrome inflammatoire multisystémique chez l’enfant (PIMS-TS) en raison des symptômes. Le syndrome est rare mais mortel. On pense qu’il est causé par la COVID-19. Le PIMS-TS a été signalé pour la première fois en avril 2020.

Il est vrai que les enfants ne sont pas touchés par la COVID-19 avec la même intensité que les adultes. Mais des groupes d’un nouveau syndrome hyper-inflammatoire mortel lié au SRAS-CoV-2 ont été signalées à Londres et à New York.

Le PIMS-TS est similaire au syndrome du choc toxique, à la maladie de Kawasaki et à d’autres syndromes hyper-inflammatoires tels que le syndrome inflammatoire multisystémique.

On a découvert que de nombreux enfants atteints du syndrome inflammatoire multisystémique avaient eu le virus SARS-CoV ou étaient connus pour être en présence de personnes infectées par COVID-19.

Les chercheurs notent qu’ils constatent une augmentation du nombre de cas de coronavirus et une augmentation correspondante des cas de MIS-C.


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Rose Duesterwald

Rose Duesterwald

Rose became acquainted with Patient Worthy after her husband was diagnosed with Acute Myeloid Leukemia (AML) six years ago. During this period of partial remission, Rose researched investigational drugs to be prepared in the event of a relapse. Her husband died February 12, 2021 with a rare and unexplained occurrence of liver cancer possibly unrelated to AML.

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