Quand Frankie Avila a subi sa première transplantation pulmonaire, on lui a dit que, comme la plupart des organes transplantés, les poumons n’ont que d’un certain temps avant de commencer à faiblir. Les médecins lui ont dit que les poumons ne dureraient que cinq ans environ. Près d’un quart de siècle plus tard, il aime faire du vélo chaque jour, il est reconnaissant et conscient, et il reste prudent.
Frankie Avila a reçu un diagnostic de fibrose kystique à l’âge de trois ans.
La fibrose kystique est une maladie génétique qui provoque des infections pulmonaires persistantes et limite progressivement la capacité de respirer. C’est une maladie qui met la vie en danger et, bien que Frankie allait bien au début de sa vie, sa situation a empiré et, à 17 ans, il était très malade. C’est à ce moment que les médecins ont commencé à lui parler d’une greffe de poumon.
Frankie a dû se joindre à une grande liste de personnes aux États-Unis qui attendent des greffes d’organes. Selon l’American Transplant Association, une personne se joint à la liste d’attente toutes les 10 minutes. En fait, aux États-Unis, environ 115 000 personnes sont sur la liste d’attente. Avila attendait deux ans avant de recevoir les nouveaux poumons. Cette longue attente est un processus commun auquel beaucoup doivent faire face. L’une des principales raisons de cette longue attente est le fait que seuls 2 à 3% des décès correspondent aux spécifications pour être considéré pour le don d’organes tels que les poumons. La personne décédée des suites de la mort cérébrale doit également avoir accepté, avant de mourir, d’être un donneur d’organe et le médecin doit tester et s’assurer que l’organe est fonctionnel.
En fait, Frankie a même reçu un appel une fois au sujet de nouveaux poumons, mais cela n’a pas fonctionné, car les poumons ont commencé à décliner au centre des donneurs. Plusieurs mois après cette malheureuse situation, Frankie a finalement reçu un appel concernant sa greffe de poumon. À ce stade, Frankie était très malade et recevait 6 litres d’oxygène par jour, 24h / 24 et 7j / 7.
Vingt-quatre ans après le succès de sa transplantation pulmonaire, Frankie ressent encore de la gratitude tous les jours.
« Chaque inspiration que je peux prendre est une bénédiction », déclare Frankie.
Frankie dit que devenir donneur d’organes peut être un moyen très significatif d’apporter sa contribution et de donner à quelqu’un une deuxième chance dans la vie.
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