Des Scientifiques ont découvert une nouvelle voie menant à moins d’inflammation dans l’asthme et dans d’autres maladies allergiques

Pourquoi la plupart de gens peuvent-ils tolérer les poils de chat alors que certaines personnes ont des réactions sévères aux acariens omniprésents et pratiquement invisibles ?

Un récent article du SciTech Daily a suivi les scientifiques de l’Institut La Jolla alors qu’ils cherchaient la réponse.

Les chercheurs, grâce à leur étude Science Immunology du 12 juin 2020, ont identifié des lymphocytes T qui pourraient prévenir les réactions allergiques causées par les acariens ou d’autres allergènes.

Mentionnant le sous-ensemble de lymphocytes T précédemment inconnu, l’un des co-auteurs de l’étude a fait remarquer que leur découverte mènera à de nombreuses autres opportunités thérapeutiques.

Une Réaction typique

La réaction de notre système immunitaire à une substance étrangère entraîne des allergies.

Les réactions allergiques typiques aux allergènes sont le nez qui coule, les fosses nasales congestionnées et, bien sûr, les éternuements. Les personnes asthmatiques peuvent subir une crise d’asthme potentiellement mortelle.

Le Génomique de cellule unique

Jusqu’à présent, les scientifiques n’ont pu explorer que les quarante mille milliards de cellules du corps et les deux cents types de cellules en gros. Mais il existe de nombreuses questions, telles que celles concernant le cancer, auxquelles on ne peut répondre qu’en examinant une seule cellule.

Par exemple, l’apparition du cancer commence quand l’ADN d’une cellule est muté et que la cellule développe de manière incontrôlable. Cela conduit finalement à la croissance de tumeurs.

D’autres systèmes dans le corps, notamment le cerveau, le système immunitaire et le sang, impliquent la diversité cellulaire. Par conséquent, une connaissance approfondie des cellules individuelles dans ces systèmes est essentielle.

Grâce aux nouvelles techniques d’isolement des cellules appelées génomique de cellule unique, les scientifiques peuvent explorer le domaine entier de l’ADN (le génome).

L’Étude : allergie aux acariens de la poussière de la maison

L’équipe a utilisé une ressource de l’Institut La Jolla qui enregistre des données sur les interactions du système immunitaire et des acariens de la poussière de la maison.

Les scientifiques ont utilisé des acariens de la poussière de la maison microscopiques comme modèles pour l’étude car ils sont si répandus que presque tout le monde y a été exposé.

La ressource La Jolla a été utilisée pour déterminer quelles molécules et quels gènes ont été produits pendant la réaction aux allergènes des acariens de la poussière de la maison.

Les participants à l’étude ont été divisés en quatre groupes. Un groupe avec l’asthme et une allergie aux acariens de la poussière de la maison, un groupe avec l’allergie uniquement, un troisième groupe avec l’asthme uniquement et le quatrième groupe composé de sujets en bonne santé.

L’étude a produit des résultats. Le sang des personnes qui souffraient d’asthme provoqué par l’allergie aux acariens contenait un nombre plus élevé de lymphocytes T auxiliaires que le sang des personnes qui n’avaient que l’allergie aux acariens de la poussière de la maison.

L’Asthme et l’inflammation

Le lymphocyte T auxiliaire 2 (Th2) est un type d’inflammation associé à l’asthme et à la réponse anormale de l’asthme aux particules inoffensives en suspension dans l’air. Dans des circonstances normales, les lymphocytes T régulateurs seraient capables de supprimer ces réactions et de maintenir des voies aériennes débouchées.

Contrairement au groupe asthme, les scientifiques ont identifié un sous-ensemble de lymphocytes T dans le groupe non allergique. Ces cellules ont été améliorées par un gène qui instruit une protéine nommée TRAIL.

Après un examen plus approfondi, les chercheurs ont suggéré que TRAIL serait pertinent car il serait en mesure de réduire l’activation des lymphocytes T auxiliaires susmentionnés.

La Conclusion

En résumé, les scientifiques ont découvert un sous-ensemble de lymphocytes T qui semblent contrôler les réactions allergiques aux acariens ou à d’autres allergènes.

Cette étude à grande échelle représente la première étude d’ARN-seq transcriptomique de cellule unique pour l’Institut La Jolla. Les informations issues de cette étude peuvent désormais être utilisées pour étudier de nombreuses autres maladies.

Ces résultats présentent le défi de stimuler l’activation des lymphocytes T dans les populations allergiques et asthmatiques.

Des études similaires peuvent identifier les enfants à risque. Le dépistage précoce pourrait donner aux médecins la possibilité d’empêcher le développement de la maladie.


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Rose Duesterwald

Rose Duesterwald

Rose became acquainted with Patient Worthy after her husband was diagnosed with Acute Myeloid Leukemia (AML) six years ago. During this period of partial remission, Rose researched investigational drugs to be prepared in the event of a relapse. Her husband died February 12, 2021 with a rare and unexplained occurrence of liver cancer possibly unrelated to AML.

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