Un Jeune garçon sud-africain présentant une hémiplégie alternante du nourrisson reçoit un traitement efficace

 

Il y a un petit garçon en Afrique du Sud qui est le seul dans le pays à avoir un trouble neurodéveloppemental extrêmement rare appelé hémiplégie alternante du nourrisson (HAN). Ce trouble n’affecte qu’une personne sur un million.

Un article du South African Medical Journal a rapporté que le petit garçon de cinq ans va maintenant mieux avec son traitement.

Il n’existe aucun traitement spécifique contre le HAN. L’objectif est de diminuer la fréquence et la gravité des attaques, de contrôler les symptômes lorsqu’ils se produisent et d’arrêter les déclencheurs. Les patients devront aussi presque toujours prendre des médicaments pour le reste de leur vie.

Essayer de gérer le HAN peut être difficile car il n’existe pas de traitement curatif, mais il existe des traitements comme la flunarizine qui se sont révélés utiles. La flunarizine n’est toutefois pas disponible en Afrique du Sud. Cependant, un médicament différent, le topiramate, est disponible dans le pays.

La mère du jeune garçon déclare que son fils avait déjà eu des épisodes de paralysie qui commenceraient avec le bras et descendraient jusqu’à la jambe. Cela se produirait aussi souvent qu’une fois par semaine. Parfois, les deux parties du corps ou des jambes seraient affectées pendant de longues périodes.

Le trouble du petit garçon a également affecté sa scolarité et ses activités sociales. Il a d’abord essayé d’aller à l’école maternelle mais a dû être retiré parce qu’il avait du mal à s’adapter.

Le petit garçon avait du mal à parler et ne parvenait pas à accomplir de simples gestes.

Cependant, il a finalement été prescrit un médicament appelé vérapamil. Il va mieux avec son traitement et n’a pas eu d’effets secondaires néfastes. Ses épisodes de paralysie sont passés d’une fois par semaine à une fois par mois.

En outre, la gravité de sa paralysie a été réduite avec des symptômes disparaissant dans au moins 24 heures.

Il a maintenant pu s’inscrire dans une section d’enseignement général et professionnel adapté où ses améliorations sont surveillées de près.

 

Pour lire l’article original, cliquez ici.


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