Aevolve, une plate-forme d’innovation médicale, a annoncé la semaine dernière qu’elle ferait de la recherche sur les maladies rares une priorité absolue de son accélérateur qui fonctionne à la blockchain, qui offre une voie au financement alternatif des innovations médicales.
Selon Rogelio Santos, PDG d’Aevolve :
… Il existe un écart dans la manière dont les nouveaux médicaments, traitements et technologies sont financés et commercialisés, ce qui laisse 95% de toutes les maladies rares sans aucun traitement. Le problème est que les technologies qui ciblent ces maladies sont rarement financées, car la taille du marché est plus petite que les maladies plus fréquentes. Les patients ne se sentent pas concernés par la rentabilité d’un médicament – ils se soucient de leur santé, de leur portefeuille et de leur famille. Ce n’est pas seulement un problème économique, c’est un problème moral. »
La technologie blockchain fait référence au registre transparent, accessible au public, qui permet le transfert sécurisé de la propriété des unités de valeur. Cette technologie utilise un consensus décentralisé pour entretenir le réseau, ce qui signifie qu’il n’est contrôlé de manière centralisée ni par une banque, ni par une entreprise, ni par un gouvernement.
C’est donc un mariage réussi entre la communauté des maladies rares et la technologie émergente du futur !
En raison de la population de patients plus petit et de l’incitation financière à développer des traitements contre ces maladies, certains gouvernements sont intervenus pour subventionner cette recherche, de sorte que la rentabilité ne soit pas le seul facteur déterminant dans la recherche et le développement de ces traitements.
« En mettant en relation directe les patients et les innovateurs à la pointe de la lutte contre ces maladies, on leur donne la possibilité de trouver une solution de marché que les modèles traditionnels ne pourraient jamais trouver. Au lieu des subventions gouvernementales, nous employons une solution de marché à un problème de marché qui est exactement ce que Aevolve et Biospheres Ecosystem tentent de faire », déclare Rogelio.
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